Rem·i·nis·cence addresses the ephemerality of community formed when recounting memories. As we momentarily gather in space, we are collectively guided through time, calling upon artist’s lived experiences to lead the way. The exhibition creates a feeling of togetherness, while still maintaining the feeling that a core part of you lies far away. Many of the works deal with the attachment we create to memories, as well as lingering emotions that uplift or taint what remains of a past life. Peeling back layers of childhood trauma, reflecting on vestiges of our youth or indulging in fleeting escapism are part of the arsenal of tools used to spellbind you.
Whether they be at the core of our identity, shared through ancestral knowledge or childhood nostalgia, our memories evolve with us. Each work brings you down the rabbit hole of the artist’s subconscious, pulling apart important landmarks that make up a distorted reflection of past selves. Shifting associations with places and head spaces allow for a constant renewal of perspectives on where we have been, and where we will go. Exploring softness and hard edges, small brush strokes and loose webs; a myriad of sculptures, paintings, fibre and play, transport you, just for a moment, in the realm of the in- between, where memories come alive.
Riesbri (Alexandra Riesemberg): Contemporary tales of excessive inutilities
Isabelle Anguita, Vanité
Sophie Desmarais, Webs of Connection
Lia Francischiello, Rock of love
Elijo Bjedov-Stankovic, Legs to stand
Maureen Capper, In her skin
Lucy Gill, The Things We Burn
Illiez, Memento manducare
Rem·i·nis·cence traite du lien communautaire éphémère formé lors du partage de souvenirs. Alors que nous nous rassemblons momentanément dans le même espace, les différents vécus des artistes nous transposent collectivement à travers le temps. L’exposition transmet un sentiment d’unité tout en reconnaissant qu’une partie essentielle de soi se trouve au loin. Plusieurs des œuvres traitent de notre attachement aux souvenirs ainsi que des émotions qui demeurent logées et qui illuminent ou ternissent les fragments d’une vie passée. Éplucher les traumatismes de l’enfance, réfléchir aux vestiges de notre jeunesse ou se laisser séduire par l’évasion fugace sont quelques-uns des moyens employés par les artistes pour nous envoûter.
Nos souvenirs évoluent avec nous: qu’ils soient au cœur de notre identité, partagés par un savoir générationnel ou encore ancrés dans la nostalgie de l’enfance. Chaque œuvre nous invite au plus profond de l’inconscient de l’artiste, décortiquant les points de repère qui forment le reflet déformé du passé. Les liens changeants que nous avons avec les lieux et nos états d’esprit permettent un renouvellement continu des perspectives sur notre passé et notre futur. C’est en explorant la douceur et la rigidité des contours, les coups de pinceau délicats et les toiles lâches, qu’une myriade de sculptures, de peintures, de fibres et de jeux vous transportent, ne serait-ce que pour un instant, dans le royaume de l’entre-deux, où les souvenirs prennent vie.
Riesbri (Alexandra Riesemberg): Contemporary tales of excessive inutilities
Isabelle Anguita, Vanité
Sophie Desmarais, Webs of Connection
Lia Francischiello, Rock of love
Elijo Bjedov-Stankovic, Legs to stand
Maureen Capper, In her skin
Lucy Gill, The Things We Burn
Illiez, Memento manducare
Où nous trouver!
Rem·i·nis·cence addresses the ephemerality of community formed when recounting memories. As we momentarily gather in space, we are collectively guided through time, calling upon artist’s lived experiences to lead the way. The exhibition creates a feeling of togetherness, while still maintaining the feeling that a core part of you lies far away. Many of the works deal with the attachment we create to memories, as well as lingering emotions that uplift or taint what remains of a past life. Peeling back layers of childhood trauma, reflecting on vestiges of our youth or indulging in fleeting escapism are part of the arsenal of tools used to spellbind you.
Whether they be at the core of our identity, shared through ancestral knowledge or childhood nostalgia, our memories evolve with us. Each work brings you down the rabbit hole of the artist’s subconscious, pulling apart important landmarks that make up a distorted reflection of past selves. Shifting associations with places and head spaces allow for a constant renewal of perspectives on where we have been, and where we will go. Exploring softness and hard edges, small brush strokes and loose webs; a myriad of sculptures, paintings, fibre and play, transport you, just for a moment, in the realm of the in- between, where memories come alive.
Riesbri (Alexandra Riesemberg): Contemporary tales of excessive inutilities
Isabelle Anguita, Vanité
Sophie Desmarais, Webs of Connection
Lia Francischiello, Rock of love
Elijo Bjedov-Stankovic, Legs to stand
Maureen Capper, In her skin
Lucy Gill, The Things We Burn
Illiez, Memento manducare
Rem·i·nis·cence traite du lien communautaire éphémère formé lors du partage de souvenirs. Alors que nous nous rassemblons momentanément dans le même espace, les différents vécus des artistes nous transposent collectivement à travers le temps. L’exposition transmet un sentiment d’unité tout en reconnaissant qu’une partie essentielle de soi se trouve au loin. Plusieurs des œuvres traitent de notre attachement aux souvenirs ainsi que des émotions qui demeurent logées et qui illuminent ou ternissent les fragments d’une vie passée. Éplucher les traumatismes de l’enfance, réfléchir aux vestiges de notre jeunesse ou se laisser séduire par l’évasion fugace sont quelques-uns des moyens employés par les artistes pour nous envoûter.
Nos souvenirs évoluent avec nous: qu’ils soient au cœur de notre identité, partagés par un savoir générationnel ou encore ancrés dans la nostalgie de l’enfance. Chaque œuvre nous invite au plus profond de l’inconscient de l’artiste, décortiquant les points de repère qui forment le reflet déformé du passé. Les liens changeants que nous avons avec les lieux et nos états d’esprit permettent un renouvellement continu des perspectives sur notre passé et notre futur. C’est en explorant la douceur et la rigidité des contours, les coups de pinceau délicats et les toiles lâches, qu’une myriade de sculptures, de peintures, de fibres et de jeux vous transportent, ne serait-ce que pour un instant, dans le royaume de l’entre-deux, où les souvenirs prennent vie.
Riesbri (Alexandra Riesemberg): Contemporary tales of excessive inutilities
Isabelle Anguita, Vanité
Sophie Desmarais, Webs of Connection
Lia Francischiello, Rock of love
Elijo Bjedov-Stankovic, Legs to stand
Maureen Capper, In her skin
Lucy Gill, The Things We Burn
Illiez, Memento manducare
Galerie virtuelle
Où nous trouver!